top of page


Les Folies-Bergère
Arch. Morice & Piollenc - 1926.
32 rue Richer.
Lieu de spectacles depuis la moitié du XIXème siècle, l’institution s’enhardit au début du XXème en présentant des attractions plus “osées”. C’est à cette époque que l’établissement est entièrement repensé dans l’esprit Art Deco de l’époque. La façade se transforme en grands aplats lisses avec la fresque abstraite du sculpteur Pico.
32 rue Richer.
Lieu de spectacles depuis la moitié du XIXème siècle, l’institution s’enhardit au début du XXème en présentant des attractions plus “osées”. C’est à cette époque que l’établissement est entièrement repensé dans l’esprit Art Deco de l’époque. La façade se transforme en grands aplats lisses avec la fresque abstraite du sculpteur Pico.


Notre-Dame-de-Lorette
Arch. Louis-Hippolyte Le Bas - 1823/1836.
rue de Chateaudun.
Classée MH dans sa totalité, elle est construite sur pilotis et est l’église la plus colorée de Paris.
Classicisme antique, elle s’inspire des basiliques chrétiennes de Rome.
Toutes les décorations murales sont directement peintes sur les murs par plus de 20 peintres différents, aux courants artistiques très hétérogènes (néoclassique, romantique, nazaréen, …). Ce mélange des styles, critiqué à l’époque, rend unique cette église aujourd’hui. Elle est à elle seule un concentré de la peinture française sous la Monarchie de Juillet.
rue de Chateaudun.
Classée MH dans sa totalité, elle est construite sur pilotis et est l’église la plus colorée de Paris.
Classicisme antique, elle s’inspire des basiliques chrétiennes de Rome.
Toutes les décorations murales sont directement peintes sur les murs par plus de 20 peintres différents, aux courants artistiques très hétérogènes (néoclassique, romantique, nazaréen, …). Ce mélange des styles, critiqué à l’époque, rend unique cette église aujourd’hui. Elle est à elle seule un concentré de la peinture française sous la Monarchie de Juillet.


Maison Leclaire
Arch. Henri Bertrand - 1911.
25 rue Bleue.
Ancien immeuble de l’entreprise de peinture Leclaire.
Une architecture rationnelle qui conserve un peu de néoclassicisme avec sa façade ornée de pilastres.
Remplissage de verre et métal.
25 rue Bleue.
Ancien immeuble de l’entreprise de peinture Leclaire.
Une architecture rationnelle qui conserve un peu de néoclassicisme avec sa façade ornée de pilastres.
Remplissage de verre et métal.


Hôtel de Bernis
Arch. Edmond Renaud - 1843.
26 Place Saint-Georges.
Façade Néo-Renaissance.
- Abondance et tempérance
26 Place Saint-Georges.
Façade Néo-Renaissance.
- Abondance et tempérance


Bureau de poste
Arch. Pierre Figarol - 1924
22 rue de Provence.
Ambiguïté dans cette réalisation. On voit nettement l’utilisation des possibilités offertes par le béton armé, avec le rapport entre les pleins et les ouvertures, par contre l’ornementation reste attachée à l’architecture classique. Une sorte de transition entre architecture naissante et une architecture en “fin de vie”.
22 rue de Provence.
Ambiguïté dans cette réalisation. On voit nettement l’utilisation des possibilités offertes par le béton armé, avec le rapport entre les pleins et les ouvertures, par contre l’ornementation reste attachée à l’architecture classique. Une sorte de transition entre architecture naissante et une architecture en “fin de vie”.


Centrale téléphonique Bergère-Trudaine
Arch. François Le Cœur - 1913.
15-17 rue du Faubourg-Poissonnière.
Bâtiment à ossature en brique et ciment armé. Il est attenant au bureau de poste (rue Bergère et rue du conservatoire). Cette aile administrative du central téléphonique à la particularité de venir s’adosser sur un mur de briques aveugle,sans autre ornementation qu’une pendule en fer forgé. Il marque la fin de l’aile technique où était installé le “multiple” (meuble-machine de gestion et connexion des abonnés).
Ce mur aveugle fit scandale lors de sa construction car la tradition de l’immeuble d’angle continu et sa mise en valeur de façon pittoresque est totalement rompue.
15-17 rue du Faubourg-Poissonnière.
Bâtiment à ossature en brique et ciment armé. Il est attenant au bureau de poste (rue Bergère et rue du conservatoire). Cette aile administrative du central téléphonique à la particularité de venir s’adosser sur un mur de briques aveugle,sans autre ornementation qu’une pendule en fer forgé. Il marque la fin de l’aile technique où était installé le “multiple” (meuble-machine de gestion et connexion des abonnés).
Ce mur aveugle fit scandale lors de sa construction car la tradition de l’immeuble d’angle continu et sa mise en valeur de façon pittoresque est totalement rompue.


Ancien Comptoir National d’Escompte de Paris
Arch. Édouard Corroyer, Constant Bernard - 1878/1881.
Sculpt. Aimé Millet.
14-20 rue Bergère.
Parfait exemple de l’architecture bancaire au XIXème siècle.
Éclectisme et monumentalisme sont au rendez-vous pour cette réalisation également dotée d’une opulente ornementation.
- L'entrée est surmontée d’une sculpture, allégorie de la Prudence (sceptre et miroir de la vérité)
- puis au-dessus de cette allégorie, 5 médaillons représentant les continents (les 4 continents : Océanie, Amérique, Asie et Afrique tournés vers l’Europe qui nous fait face)
- sur le fronton 2 autres allégories représentent la finance (grand-livre) et le commerce (caducée d’Hermès)
- et 2 demi-coques de bateaux en bas-reliefs.
- Bossage sur les murs et en bas de façade.
Sculpt. Aimé Millet.
14-20 rue Bergère.
Parfait exemple de l’architecture bancaire au XIXème siècle.
Éclectisme et monumentalisme sont au rendez-vous pour cette réalisation également dotée d’une opulente ornementation.
- L'entrée est surmontée d’une sculpture, allégorie de la Prudence (sceptre et miroir de la vérité)
- puis au-dessus de cette allégorie, 5 médaillons représentant les continents (les 4 continents : Océanie, Amérique, Asie et Afrique tournés vers l’Europe qui nous fait face)
- sur le fronton 2 autres allégories représentent la finance (grand-livre) et le commerce (caducée d’Hermès)
- et 2 demi-coques de bateaux en bas-reliefs.
- Bossage sur les murs et en bas de façade.


Immeuble de bureaux
Arch. Raymond Février - 1933.
21 rue de Chateaudun.
Monumental édifice Art Deco très fortement inspiré de l’architecture américaine de l’époque. Les piles colossales et le soubassement en pierre polie foncée ressemble à la base d’un gratte-ciel new-yorkais.
Les ferronneries massives sont également au diapason. Elles sont attribuées à Raymond Subes.
21 rue de Chateaudun.
Monumental édifice Art Deco très fortement inspiré de l’architecture américaine de l’époque. Les piles colossales et le soubassement en pierre polie foncée ressemble à la base d’un gratte-ciel new-yorkais.
Les ferronneries massives sont également au diapason. Elles sont attribuées à Raymond Subes.
Paris 9ème
bottom of page